Mélancholie subtile, 2èmes spleens:
1 "Let it be me" par The Sweet inspirations, Petula Clark, White hassle - Tom Jones, Oscar Harris, Elvis Presley - Roberta Flack - 2 Joan Baez "Sad eyed lady of the lowlands" - 3 "Long black veil" suite - 4 Dalida "Helwa ya baladi" - 5 Neil Young "Cortez the killer, Danger Bird" - 6 Sébastien Schuller "Weeping willow" - 7 the Beach boys "A day in the life of a tree, 'Til I die, Surf's up", puis "Surf's up" en work in progress - 8 Kingsbury Manx "Pageant square, Regular hands, Piss diary", puis "Silver trees" - 9 Elvis Presley "Solitaire"- 10 Roy Orbison "Crawling back / It's over"
Frenchy complex: Je t'appartiens - Let it be me
"God bless the day I found you
I want to stay around you
And so I beg you Let it be me
Don't take this heaven from one
If you must cling to someone
Now and forever Let it be me
Each time we meet love
I find complete love
Without your sweet love
Tell me, what would life be?
So never leave me lonely
Tell me you love me only And that you'll always Let it be me"
Les deux font la paire, "Comme d'habitude/My way" - "Je t'appartiens/Let it be me": le français dirige son ego vers autre chose, l'anglais le ramène à lui, aucun dictionnaire n'y pourra rien... mais est-ce si grave Octave, quand mélodies et différentes orchestrations s'enrichissent et se combinent d'aussi belles manières...
Mélancolie subtile dans les basses terres
Où l'on revient au Zimm en chef via sa muse, partenaire et fan barde corps de la première heure. Titre extraordinaire qui tient toute la dernière face de "Blond on blond" ici reprise à la mode brune sur brune. Quoiqu'on passe surtout de la version smokin' à son pendant no smoking, du désaccord dylanien qui bouscule à la compassion joanesque qui accompagne, but... "should I leave them by your gate or sad-eyed lady should I wait?"
"The long black veil"... personne ne sait, personne n'a rien vu, but they...
La première fut la bonne, ça arrive parfois. Encore fallait-il compter sur l'homme en noir, bulldozer, commandeur, stentor. Sa légende écrasant Frizzel sur sa gauche, rien à faire. Il en existe des versions oubliables, alors que tout le monde s'y colle, le Band et le Kingston trio se surpassent. Et voilà qu'oubliée de tous, la Marianne au creux de la vague se retrouva comme par erreur au coeur d'un album de reprises divines, mélancoliques et majestueuses. Son précieux, musicos bien nourris, choix des morceaux exquis, interprétation sur la corde. Soudainement elle se prend pour Gram Parsons, borderline, prête à sombrer... inexplicable, imparable, définitif.
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